Ressenti corporel
Les physiciens quantiques,dont Philippe Guillemant, ont démontré que la conscience a 3 dimensions : mentale, émotionnelle et énergétique. L’attention à ce qui se passe dans le corps permet d’ouvrir les portes de ces informations au delà du mental. Elles apportent alors de nouvelles compréhensions sur ce qui a été/ou est vécu. La physique quantique a démontré que le vide était un vide quantique rempli d’informations à notre disposition. Les émotions qui sont des vibrations, lorsqu’elles sont vécues en conscience ouvrent les portes vers les véritables informations non travesties par le mental, les croyances ou la bienséance.
Les champs morphiques matérialisés par des coussins, peluches sont un moyen de projeter dans le présent des champs d’informations liés au passé. L’existence des champs morphiques a été introduit en 1981 par Rupert Cheldrake mais ne fait pas l’unanimité dans la communauté scientifique. Des travaux intéressants ont été transmis par James Oschman en 2017 lors de la Water Conference et sont brillamment résumés par le Pr Marc Henry. « Les travaux supposeraient que les champs morphiques soient localisés dans le tissu spatio-temporel sous la forme d’informations quantiques et que l’eau interfaciale (au niveau des cellules du corps) soit une interface de communication entre le champ quantique d’information et les systèmes vivants.«
Ralentir est le secret pour sentir ce qui se passe dans le corps. C’est comme un film qui, au ralenti, révèle peu à peu une infinité d’images. Ralentir permet aussi de se connecter aux sens. Quel effet ressenti par la vue d’une fleur, par l’écoute du chant des oiseaux, par l’odeur de la ville ? Ai-je envie de sourire, de pleurer, de me mettre en mouvement, de frissonner. Peu à peu l’écoute des messages du corps peut se faire.
Le corps a la mémoire du passé et de celui des ancêtres. Se reconnecter à lui demande de l’écoute, de la délicatesse et beaucoup de persévérance. Lorsque l’information est ressentie dans le corps, la trace est telle que la vérité émerge à la conscience et n’est plus remise en cause. Le corps donne une information si juste que le mental ne discute plus. Seule l’expérience permet de se forger son idée.