« Contacter sa puissance intérieure, la laisser rayonner et déployer son Être : une source de joie infinie pour soi, les autres et le monde, telle est mon invitation »
D’une manière illustrée et en référence aux grandes traditions de l’humanité, j’associe cette puissance à la lettre YOD, la plus petite lettre des lettres hébraïques. Elle est le germe de vie en nous. Dès l’instant où nous en prenons conscience, où nous le cultivons, le germe exprime peu à peu son potentiel. Il faut parfois au préalable défricher le terrain pour libérer de l’espace autour de ce germe. C’est le travail sur le transgénérationnel avec le 1er outil relatif à la psychogénéalogie. Ensuite la prise de conscience de la présence de ce germe en nous et de toutes les énergies qui lui sont associées est le travail sur le ressenti corporel, le 2ème outil. Le 3ème outil autour de l’expression des créativités qu’elles soient orales, musicales, artistiques, spirituelles permet de cultiver ce germe pour qu’il continue à grandir .
Où se localise cette puissance?
Selon la tradition taoïste, je localise la puissance intérieure au niveau du Ming Men, l’espace entre le nombril et la 2ème et 3ème vertèbre lombaire qui est la porte du ciel antérieur et est l’endroit où se rattache l’énergie primordiale, la source de notre vitalité et de notre puissance.