Psychogénéalogie

Mettre la lumière sur son histoire et celle des ancêtres, comprendre son présent, ouvrir le futur sur de nouveaux horizons.

Je vous accompagne dans l'élaboration du génosociogramme afin de pouvoir mettre en lumière les loyautés, les répétitions, les fantômes de l'arbre généalogique.

Je pratique les constellations familiales en individuel avec des figurines

Les origines de la psychogénéalogie sont dues aux travaux de la psychologue, psychothérapeute et professeur des universités Anne Ancelin Schützenberger dans les années 1970 . Dans ces nombreux ouvrages et travaux universitaires, elle a mis en évidence l’existence d’un destin familial, d’un inconscient familial qui ne demande qu’à venir à la conscience.  » Nous héritons tous et toutes d’un sac de nœuds composé d’histoires, de drames, de deuils non résolus. Nos grands-parents ou nos parents ont parfois essayé, pour notre bien, de nous protéger quand nous étions enfants en ne nous disant rien de ces traumatismes » . Ce que C G Jung de son côté exprime par « Tout ce qui ne parvient pas à la conscience revient sous forme de destin« . 

Le génosociogramme est le dessin de l’arbre généalogique établi sur 4 à 6 générations. Il indique avec le plus de précisions possibles les dates de naissances, mariages, décès, maladies, accidents, alliances, professions, phénomènes migratoires tout ce qui a pu marquer la famille. Son élaboration demande un travail d’investigation auprès de la famille mais aussi dans les documents officiels (état-civil, actes notariaux, archives). En analysant le génosociogramme, il est possible de mettre en évidence les transmissions, les liens affectifs tant positifs que négatifs et de donner un sens à son histoire personnelle.

Les constellations individuelles avec des figurines de type Playmobil permettent de matérialiser l’événement (le traumatisme passé ou transgénérationnel) que l’on veut travailler dans l’espace présent. Voir, ressentir ce qui s’est joué dans le passé est la 1ère étape. Prendre conscience de ce qui aurait pu être modifié, des ressources qui auraient été nécessaires est la 2ème étape. S’autoriser à faire évoluer la situation en bougeant, introduisant de nouvelles figurines est la 3ème étape. L’événement est ainsi travaillé jusqu’à ce qu’il apparaisse juste et acceptable dans son ressenti présent.

pictogramme représentant un arbre généalogique

Selon mon expérience, il faut remonter au niveau des arrières grands-parents pour trouver l’information qui demande à être travaillée (par exemple : enfant naturel, disparition, meurtre …). Les grands-parents ont vécu l’événement avec plus ou moins de difficultés mais sans chercher à le conscientiser. Au niveau des parents c’est le déni et ce sont alors les enfants qui ont la possibilité de travailler sur le traumatisme et de libérer l’arbre.

pictogramme représentant un arbre généalogique

Le travail sur le génosociogramme permet de prendre conscience de l’intégration de chaque individu dans une matrice familiale d’une finesse infinie. Je compare aisément un arbre généalogique avec un motif de dentelles tout en finesse et précision. Chaque point a sa raison d’être et fait la beauté et la solidité de l’ouvrage.